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°°The Mouette Show°°

°°The Mouette Show°°
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16 septembre 2006

Tryo Apocalypticodramatic

Apporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accèle encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatique...

Sirènes obsédantes
Métal hurlant, plastique qui résonne
Aux arcades d'acier de l'oreille
Entartrée par ton ouïe déficiente

Des éclairs choppent tes yeux au hasard
Les lasers t'étranglent et t'enfoncent leurs dards
Cette nuit suçera ma sève
Moi je m'en fiche, je "rave"

{au Refrain}

C'est le grand rassemblement
C'est la fête ou la teuf des Grands
Aux yeux équarquillés, aux pupilles dilatées
Et aux coeurs dressés

Par le battement de coeur
Qu'elle te prend sans savoir
Ton pauvre coeur qui n'en peut plus
De ne plus pouvoir respirer

Eh toi p'tit con !
Qu'est-ce que tu fais là ?
Dis-moi p'tit con,
Tu viens franchir le pas ?

Mais t'ignores le parfum
Enivrant, obsédant
Qui te couvre d'ivresse
Te transforme en détresse
Et peut faire de ta soirée
Comme une éternité à crier

{au Refrain}

Mais au nom de la vie d ces quelques uns
Qui sont restés bloqués sur ton drôle de chemin
Au nom de mon ami malade
Qui hurle au fin fond d'son hôpital

{au Refrain}

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4 septembre 2006

Bénabar "Maritie et Gilbert Carpentier"

Déjà lavé en pyjama... qui me gratte, dans la télé des Claudettes... en grappe, parce que demain y'a pas école, Mike Brandt, Sacha Distel. Play-back et pattes d'éléphant, rouflaquettes et costumes blancs, ils avaient des beaux habits qu'ils doivent regretter amèrement aujourd'hui. Ils portaient bien la moustache, dans des décors pas encore kitch, micro tenu du bout des doigts, en éloignant le fil d'un geste du bras.

Maritie et Gilbert Carpentier sont heureux de vous présenter, attention l'émission va commencer, Maritie et Gilbert Carpentier.

Quelques décors pour faire Broadway, un réverbère, un cabaret, un faux saloon c'est l'Amérique, et des trucages préhistoriques. Ils s'appelaient presque tous Michel, Polnareff, Jonasz, Delpech, Michel Fugain, Michel Berger, et Michel le Forestier.

Maritie et Gilbert Carpentier sont heureux de vous présenter, attention l'émission va commencer, Maritie et Gilbert Carpentier.

Y'avait tellement d'applaudissements, qu'on dirait une émission d'maintenant, ambiance fox-trot, Sylvie Vartan et des danseurs partout tout l'temps. Quand ils se trompaient de caméra, un petit tour et les revoilà. Le doigt vers l'objectif : je chante pour toi, on a tout à apprendre de Claude François.

Maritie et Gilbert Carpentier sont heureux de vous présenter, attention l'émission va commencer, Maritie et Gilbert Carpentier.

Puis défilait le générique qui annonçait le moment tragique :

"les enfants allez vous coucher", impossible de négocier, je sais, j'ai essayé...

Maritie et Gilbert Carpentier sont heureux de vous présenter, attention l'émission va commencer, avec les moyens techniques de la SFP !

4 septembre 2006

Olivia Ruiz "Je traîne les pieds"

J'traînais les pieds, des casseroles
J'n'aimais pas beaucoup l'école
J'traînais les pieds, mes guiboles abîmées
J'explorais mon quartier

J'traînais des pieds dans mon café
Les vieux à la belotte braillaient
Papi, mamie, tonton André et toutes ces pépées
A mes p'tits soins, à m'pouponner

Ecorché mon visage, écorchés mes genoux
écorché mon p'tit coeur tout mou
bousillées mes godasses, bousillé sur ma joue
bousillées les miettes de nous

La fumée du boeuf bourguignon
Toute la famille tête dans l'guidon
Du temps où ont pouvaient faire les cons
Les pensionnaires, les habitués, les gens d'passage surtout l'été
Joyeux bordel dans mon café

Ecorché mon visage, écorchés mes genoux
écorché mon p'tit coeur tout mou
balayée la terrasse, envolé le bout d'chou
envolées les miettes de nous

Je traîne les pieds, j'traîne mes casseroles
J'n'aime toujours pas l'école

Ecorché mon visage, écorchés mes genoux
écorché mon p'tit coeur tout mou
bousillées mes godasses, bousillé sur ma joue
bousillées les miettes de nous

4 septembre 2006

Les trois accords "Hawaïenne"

J'aurais voulu que tu sois Hawaïenne
Pour que tu grimpes en haut des cocotiers
Nous n'aurions plus besoin du laitier
(ha..ha...ha)

Hawaïenne
J'aurais voulu que tu sois Hawaïenne
Pour que tu portes une jupe en osier
Et que tu me dénudes ces petits pieds

Hawaïenne
J'aurais voulu que tu soyes Hawaïenne
J'aurais voulu que tu soyes
J'aurais voulu que tu soyes
Ha-waï-enne

Hawaïenne
J'aurais voulu que tu sois Hawaïenne
Pour que nous gambadions sur les rochers
Et qua tous les jours ce soit l'été


Ce
J'aurais voulu que tu sois japonienne
Que
Mais tu étais poméranienne
Tu
Ami des frites juliennes
Es
Ça m'a fait de la pé-peine

Non
Seulement mais en
Partie d'où tu viens

Hawaïenne
J'aurais voulu que tu sois Hawaïenne
Hawaïenne
J'aurais voulu que tu sois Hawaïenne
Hawaïenne
J'aurais voulu que tu sois Hawaïenne

4 septembre 2006

Tu pourriras de Choum

Tu pourriras
A poil dans le froid
Et c'est la bonne
qui nettoiera...

Tu pourriras comme un rat, vieille enflure
La tronche dans le vide-ordure
Tu boufferas les raclures
Les déchets les moisissures
En criant des injures
Dans le vent...
Tu pourriras loin de moi, gros bâtard
Tu chercheras tes caleçons
Tes chaussettes, tes mouchoirs
Planqués sous mes vieux tampons
Tu fouilleras les fonds de tiroirs
Tu pourriras...

Tu pourriras
A poil dans le froid
Et c'est la bonne
qui nettoiera...

Tu pourriras dans les bras d'une radace
Qui voudra même pas de toi
Tellement tu pues la crasse
Alors tu te toucheras
Devant un film de fesses
A 3 francs...
Tu pourriras comme un chien hystérique
Au fond d'une fosse sceptique
Avec des douleurs gastriques
Et tu perdras tout ton fric
En prison, chez les flics
Tu finiras...

Tu pourriras comme un tas de fumier
Pendant que j'me ferai donner
Par un mec bien gaulé
Et toi tu feras pitié
Tu pourriras
Et tu crèveras...

Tu pourriras
A poil dans le froid
Et c'est la bonne
qui nettoiera...

Tu pourriras...
Comme un résidu de poulpe ménopausé
Tu finiras...
Comme une vieille quiche mal ramonée...

{au Refrain}


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4 septembre 2006

VRP ma vache a grossi

Ma vache a grossi
Ma vache a grossi
Ell'rentre plus dans l'pré
Pour la faire passer
Il faut la pousser
Ma vache a grossi
Ma vache a grossi
Elle a grossi
Mes poules ont grossi
Mes poules ont grossi
Elles sont toutes déplumées
Tant elles sont toutes gonflées
Leurs oeufs sont tous écrasés
Par toute leur obésité
Mes poules ont grossi
Mes poules ont grossi
Aussi

Mon chien a grossi
Mon chien a grossi
Coince dans sa niche
C'est bête pour un caniche
Mon chien a grossi
Mon chien a grossi
Aaah!
Ma fille a grossi
Ma fille a grossi
Elle peut plus faire ses d'voirs
Ont dirait Babar
Elle tient plus sont stylo
Tellement ses doigts sont gros
Ma fille a grossi
Ma fille a grossi
Elle aussi

Ma femme a grossi
Ma femme a grossi
Le jour dans sa cuisine
Elle est si obèse
Et le soir au lit
Il faut bien qu'j'la.....
Ma femme a grossi
Ma femme a grossi
On dirait maman!

4 septembre 2006

Tu parles trop d'La Rue Kétanou

Tu parles trop {x3}

Tu n'écoutes plus personne
Et plus personne ne t'écoute

Donnez-lui quelque chose à manger
Ou bien quelqu'un à embrasser
N'importe quoi pour l'occuper
Pour le faire taire sans se fâcher

{au Refrain}


Pousse-toi, laisse passer les anges
Et les modestes et les timides
Tais-toi, tu gagneras au change
Faut se remplir quand on se vide

{au Refrain}

Et ce n'est pas que ton discours
Ne semble pas intéressant
Tu parles peut-être même d'amour
Ouais mais tu parles
Tu parles tout le temps

{au Refrain}

Tu doubles tout le monde et tu te vautres
Tu sais c'est du pareil au même
Quand on passe à côté des autres
On passe à côté de soi-même

au Refrain

4 septembre 2006

Anais mon coeur mon amour

Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}

Ca dégouline d'amour,
C'est beau mais c'est insupportable.
C'est un pudding bien lourd
De mots doux à chaque phrases :

"Elle est bonne ta quiche, amour"
"Mon coeur, passe moi la salade"
Et ça se fait des mamours,
Se donne la becquée à table.

Ce mélange de sentiments
Aromatisé aux fines herbes
Me fait sourire gentiment
Et finalement me donne la gerbe !

Je hais les couples qui me rappellent que je suis seule !
Je déteste les couples, je les hais tout court !
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}

C'est un épais coulis
Ca me laisse le cul par terre
Autant de mièvrerie
Nappée de crème pâtissière


"Coucou qu'est ce que tu fais mon coeur ?"
"La même chose qu'y a une demie heure... "
"J' t'ai appelé y a cinq minutes mon ange mais ça répondait pas...
Alors j' t'ai rappelé... pour la douzième fois de la journée...
En niquant tout mon forfait...
Mais qu'est ce que tu fais mon adoré ?
Ouais je sais on se voit après...
Non c'est toi qui raccroches... Non c'est toi...
Non c'est toi qui raccroches... Non c'est toi...
Non c'est toi... C'est toi ... Bon d'accord je te rappelle... "

Je hais les couples qui se rappellent quand je suis seule !
Je déteste les couples, je les hais tout court !
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}

4 septembre 2006

Brigitte Fontaine le nougat

Je me réveille avec entrain,
Je branche la cafetière électrique,
Je me rue dans la salle de bain
Et je deviens paralytique.
Sous la douche y a un éléphant
qui me regarde tendrement,
je balbutie en rougissant
d’un air gaga probablement :
« mais comment donc êtes vous entré
Puisque la porte était fermée? »
il me sourit et il me dit :
« t’occupe pas, donne moi du nougat !
t’occupe pas, donne moi du nougat ! »

Je bondis sur le téléphone,
je fais le 17 et je tonne :
« j’habite au 1 d’la rue Bidouche
y’a un éléphant dans ma douche »
Le flic me dit « vas-y toi-même
ça résoudra tous tes problèmes »
déboussolée je re déboule
là où j’ai laissé ce maboule.
La douche est vide il est parti ;
le voilà couché dans mon lit,
il me regarde et il me dit :
« écoute, toi, donne-moi du nougat,
Ecoute, toi, donne-moi du nougat ! »

Je dis « je vais vous en chercher,
C’est dans la cuisine à côté »
J’y vais et puis je change de cap,
J’enfile un manteau et une cape
Pour recouvrir ma nudité,
Et je m’enfuis dans l’escalier,
Je traverse la ville à pieds
En cavalant comme une damnée.
J’arrive enfin chez un copain
Qui va m’accueillir dans son sain.
Il ouvre la porte et il me dit :
« Assieds-toi, donne-moi du nougat,
Assieds-toi, donne-moi du nougat ! »

J’ai galopé chez Marina ,
Qui est plus qu’une sœur pour moi,
Elle m’a tout d’suite donné à boire,
Je lui ai raconté l’histoire
Elle a dit « alors, t’as fait quoi ?
Moi j’lui ai donné le nougat. »
La d’ssus je vais m’faire un pétard
Et partir pour Montélimar
Elle me fait « Je viens avec toi !
Moi aussi je veux du nougat !

Moi aussi je veux du nougat,
Moi aussi je veux du nougat !

Moi aussi je veux du nougat,
Moi aussi je veux du nougat ! »

4 septembre 2006

les amis d'ta femmes ploum ploum tralala

Puisqu'y faut bien la faire un jour
Et qu'personn' n'a l'air décidé
Mêm' si y'en a des qui sont pour,
La révolution, moi, j'la fait.
Chuis pas vraiment du genr' patient,
C'est ce soir le grand soir, voilà!
Pourquoi attendr'? Moi, j'trouv' ça chiant.
C'est c'teu nuit qu'ça s'fera… ou pas.

J'ai préparé mes ptits cocktails,
Mon foulard, mon casqu', mon courage.
Chuis seul mais j'vais fair' des merveilles,
Sous les pavés, j'trouv'rai la plage!
Va bien falloir que les chos's changent:
J'construits donc ma ptit' barricade.
Lancer des pav'tons ça m'démange,
J'ai des munitions… plein les bras

REFRAIN:
Ploum ploum tralala… ploum ploum tralala…
Anarchie vaincra!!!

Ca y est les cogn's pointnt leur sal' gueule.
Ils prépar'nt leurs feux d'artifice.
Je charg'! Yz'y croient pas, les veules!
Au fond d'leur froc, un' goutt' de pisse!
Je déverse un' pluie d'Molotov
Sur les forc's répressiv's d'l'Etat.
C'est quand mêm' vrai que les Russkofs
Ont inventé des trucs… sympas.

REFRAIN…

La flaqu' d'essence évaporée,
Comm' dit l'autr': "toute honte bue",
Les flics rapatrient leurs blessés,
La deuxièm' vagu' me tomb' dessus.
Ils connaiss'nt leur boulot, les bourres.
Je leur gueul': "Rodney King vaincra!"
J'mont' dans l'camion faire un ptit tour,
Direction le commissariat.

REFRAIN…

Y m'ont bien cogné tout' la nuit
Plus le lend'main pis l'jour d'après,
A coups d'matraqu', d'bottin et puis
Ces fumiers m'ont même enculé!!
J'me suis souv'nu que Jean Moulin
A eu à faire avec ces gens-là.
L'uniforme fais l'assassin.
Peuv'nt me torturer, ch'parl'rai pas.

REFRAIN…

Me voilà dehors au grand air.
J'ai mal au cul mais j'ai rien dit.
Ces fascist's m'ont foutu les nerfs
Mais y bais'ront jamais l'Anarchie!!!

Ploum ploum tralala… ploum ploum tralala… je chie devant leur porte!!! Anarchie vaincra!!! (2 X)
Ploum ploum tralala… (7 X)
Anarchie vaincra!!!

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